Sainte Bernadette, Amie de Miséricorde

La fête de sainte Bernadette est le 18 février.

Bernadette naît le 7 janvier 1844, au moulin de Boly, à Lourdes. Enfant joyeuse et très serviable elle s’occupe beaucoup de ses frères et sœurs. A l’âge de 14 ans, Bernadette ne sait ni lire ni écrire. Un matin glacial, elle va chercher du bois à la Grotte de Massabielle et voit soudain, près du Gave, une belle dame habillée de blanc qui lui sourit.

18 fois, du 11 février au 16 juillet 1858, Bernadette voit la Belle Dame qui lui dit un jour son nom « Je suis l’Immaculée Conception ». La Belle Dame est la Vierge Marie, Immaculée Conception c’est-à-dire sans péché.

Bernadette a fait l’expérience de la miséricorde de Dieu de plusieurs manières.

Elle est très pauvre et dit « la Vierge Marie me regardait comme une personne ». La tendresse, la charité sont les mots qui disent la miséricorde. Ainsi, grâce à la charité de la Vierge Marie, Bernadette comprend la miséricorde de Dieu.

Lors des Apparitions, la Vierge Marie invite Bernadette à prier pour les pécheurs c’est-à-dire tous les hommes et les femmes sur terre car nous sommes tous un peu ou très loin de Dieu. Marie qui est notre Maman du Ciel désire que toutes les personnes sachent que Dieu qui a un cœur tout empli de Miséricorde aime chacun et attend que nous venions vers Lui.

Après les apparitions à Lourdes, Bernadette va à Nevers et devient Sœur de la la charité. Elle se met au service des pauvres et des malades, et transmet la tendresse, la miséricorde de Dieu.

Sainte Bernadette meurt le 16 avril 1879, chez les Sœurs de la Charité de Nevers. Elle est canonisée le 8 décembre 193z

Évangile du dimanche 4 février 2024

Évangile de Jésus Christ selon saint Marc 1, 29-39

En ce temps-là, aussitôt sortis de la synagogue de Capharnaüm, Jésus et ses disciples allèrent, avec Jacques et Jean, dans la maison de Simon et d’André. Or, la belle-mère de Simon était au lit, elle avait de la fièvre. Aussitôt, on parla à Jésus de la malade. Jésus s’approcha, la saisit par la main et la fit lever. La fièvre la quitta, et elle les servait.

Le soir venu, après le coucher du soleil, on lui amenait tous ceux qui étaient atteints d’un mal ou possédés par des démons. La ville entière se pressait à la porte. Il guérit beaucoup de gens atteints de toutes sortes de maladies, et il expulsa beaucoup de démons ; il empêchait les démons de parler, parce qu’ils savaient, eux, qui il était.

Le lendemain, Jésus se leva, bien avant l’aube. Il sortit et se rendit dans un endroit désert, et là il priait. Simon et ceux qui étaient avec lui partirent à sa recherche. Ils le trouvent et lui disent : « Tout le monde te cherche. » Jésus leur dit : « Allons ailleurs, dans les villages voisins, afin que là aussi je proclame l’Évangile ; car c’est pour cela que je suis sorti. »

Et il parcourut toute la Galilée, proclamant l’Évangile dans leurs synagogues, et expulsant les démons.

 

Évangile du dimanche 28 janvier 2024

Évangile de Jésus Christ selon saint Marc 1, 21-28

Jésus et ses disciples entrèrent à Capharnaüm. Aussitôt, le jour du sabbat, il se rendit à la synagogue, et là, il enseignait. On était frappé par son enseignement, car il enseignait en homme qui a autorité, et non pas comme les scribes.

Or, il y avait dans leur synagogue un homme tourmenté par un esprit impur, qui se mit à crier : « Que nous veux-tu, Jésus de Nazareth ? Es-tu venu pour nous perdre ? Je sais qui tu es : tu es le Saint de Dieu. » Jésus l’interpella vivement : « Tais-toi ! Sors de cet homme. » L’esprit impur le fit entrer en convulsions, puis, poussant un grand cri, sortit de lui. Ils furent tous frappés de stupeur et se demandaient entre eux : « Qu’est-ce que cela veut dire ? Voilà un enseignement nouveau, donné avec autorité ! Il commande même aux esprits impurs, et ils lui obéissent. »
Sa renommée se répandit aussitôt partout, dans toute la région de la Galilée.

Évangile du dimanche 21 janvier 2024

Évangile de Jésus Christ selon saint Marc 1,14-20

Après l’arrestation de Jean le Baptiste, Jésus partit pour la Galilée proclamer l’Évangile de Dieu ; il disait : « Les temps sont accomplis : le règne de Dieu est tout proche. Convertissez-vous et croyez à l’Évangile. »

Passant le long de la mer de Galilée, Jésus vit Simon et André, le frère de Simon, en train de jeter les filets dans la mer, car c’étaient des pêcheurs. Il leur dit : « Venez à ma suite. Je vous ferai devenir pêcheurs d’hommes. » Aussitôt, laissant leurs filets, ils le suivirent.

Jésus avança un peu et il vit Jacques, fils de Zébédée, et son frère Jean, qui étaient dans la barque et réparaient les filets. Aussitôt, Jésus les appela. Alors, laissant dans la barque leur père Zébédée avec ses ouvriers, ils partirent à sa suite.

Évangile du dimanche 14 janvier 2024

Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 1, 35-42

En ce temps-là, Jean le Baptiste se trouvait avec deux de ses disciples. Posant son regard sur Jésus qui allait et venait, il dit : « Voici l’Agneau de Dieu. » Les deux disciples entendirent ce qu’il disait, et ils suivirent Jésus.

Se retournant, Jésus vit qu’ils le suivaient, et leur dit : « Que cherchez-vous ? » Ils lui répondirent : « Rabbi – ce qui veut dire : Maître –, où demeures-tu ? » Il leur dit : « Venez, et vous verrez. » Ils allèrent donc, ils virent où il demeurait, et ils restèrent auprès de lui ce jour-là. C’était vers la dixième heure (environ quatre heures de l’après-midi).

André, le frère de Simon-Pierre, était l’un des deux disciples qui avaient entendu la parole de Jean et qui avaient suivi Jésus. Il trouve d’abord Simon, son propre frère, et lui dit : « Nous avons trouvé le Messie » – ce qui veut dire : Christ. André amena son frère à Jésus. Jésus posa son regard sur lui et dit : « Tu es Simon, fils de Jean ; tu t’appelleras Kèphas » – ce qui veut dire : Pierre ».

Geste de Miséricorde : penser à ton baptême

Lundi 8 janvier, nous fêtons le Baptême de Jésus par Jean Baptiste.

Jésus miséricordieux qui n’a pas de péché, a demandé à Jean Baptiste de le baptiser. Par ce baptême, Jésus nous montre qu’il prend toutes nos faiblesses, nos péchés et qu’il partage notre désir d’être libérés de tout ce qui éloigne de Dieu et des autres.

Nous te proposons comme geste de Miséricorde de penser à ton baptême. C’est un grand cadeau que tu as reçu. Tu peux chercher : quel jour as-tu été baptisé ? Dans quelle église, quelle ville ?  Si tu ne le sais pas, tu peux demander à ta maman ou ton papa, à ta grand-mère, ton grand-père ou à ton parrain, ta marraine.

Et si tu n’as pas encore été baptisé, tu peux parler avec tes parents et leur dire ton souhait de recevoir ce beau cadeau.