Évangile du dimanche 24 novembre 2024

Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 18, 33b-37

En ce temps-là, Pilate appela Jésus et lui dit : « Es-tu le roi des Juifs ? » Jésus lui demanda : « Dis-tu cela de toi-même, ou bien d’autres te l’ont dit à mon sujet ? » Pilate répondit : « Est-ce que je suis juif, moi ? Ta nation et les grands prêtres t’ont livré à moi : qu’as-tu donc fait ? » Jésus déclara : « Ma royauté n’est pas de ce monde ; si ma royauté était de ce monde, j’aurais des gardes qui se seraient battus pour que je ne sois pas livré aux Juifs. En fait, ma royauté n’est pas d’ici. » Pilate lui dit : « Alors, tu es roi ? » Jésus répondit : « C’est toi-même qui dis que je suis roi. Moi, je suis né, je suis venu dans le monde pour ceci : rendre témoignage à la vérité. Quiconque appartient à la vérité écoute ma voix. »

Évangile du dimanche 10 novembre 2024

Évangile de Jésus Christ selon saint Marc 12, 41-44

En ce temps-là, Jésus s’était assis dans le Temple en face de la salle du trésor, et regardait comment la foule y mettait de l’argent. Beaucoup de riches y mettaient de grosses sommes.

Une pauvre veuve s’avança et mit deux petites pièces de monnaie. Jésus appela ses disciples et leur déclara : « Amen, je vous le dis : cette pauvre veuve a mis dans le Trésor plus que tous les autres. Car tous, ils ont pris sur leur superflu, mais elle, elle a pris sur son indigence : elle a mis tout ce qu’elle possédait, tout ce qu’elle avait pour vivre. »

Donner un euro de ton argent de poche

Le 11 novembre, c’est la fête de Saint Martin qui a coupé son manteau en deux et en a donné la moitié à un pauvre. Le 17 novembre, c’est la journée mondiale des pauvres.

En novembre, comme geste de miséricorde, nous te proposons de regarder ce que tu as comme argent de poche. Tu peux donner un euro, avec un grand sourire, à une personne pauvre que tu vois. Tu peux en parler à ton papa ou à ta maman ; ils t’aideront à donner.

 

Photo :  Geralt – Pixabay

Un ange et un saint

Le saint et l’ange

Le 1er novembre, les catholiques fête la Toussaint, la fête de Tous les Saints, reconnus par l’Église et qui sont dans le calendrier, ou anonymes.

Un saint ce n’est pas un superhéros ou un superman. Il a des qualités et des défauts, comme toute personne sur terre. Un saint, c’est un enfant, un jeune, un homme, une femme qui a vécu la grâce de son baptême. Il s’est laissé aimer par Jésus, a dit « oui », chaque jour, à Dieu, l’a aimé de tout son cœur et, tout empli de l’Amour de Jésus, a donné beaucoup d’amour autour de lui.

Certains saints ont connu Jésus, comme saint Pierre, ou saint Thomas. D’autres ont vécu plus tard, comme par exemple, au XXème siècle, sainte Mère Teresa ou saint Jean-Paul II. Les saints, après leur mort, vivent avec Dieu pour toujours au Ciel. Nous pouvons leur confier nos prières ; ils sont nos messagers auprès de Dieu.

Trois enfants de ton âge ont dit, un jour, avec leurs mots, ce qu’est un saint.

Un saint, c’est quelqu’un qui a le cœur tout ouvert à Dieu (Élisabeth, 7 ans).

Un saint, c’est un espèce de Jésus (Thierry, 10 ans)

Montrant un vitrail représentant des saints : Un saint, c’est celui qui laisse passer la lumière (Aurore, 7 ans).

Tu portes le prénom d’un saint, d’une sainte qui est un(e) ami (e) de Jésus. Toi aussi, tu peux être un saint, une sainte.

Évangile du dimanche 3 novembre 2024

Évangile de Jésus Christ selon saint Marc 12, 28b-34

En ce temps-là, un scribe s’avança vers Jésus pour lui demander : « Quel est le premier de tous les commandements ? » Jésus lui fit cette réponse : « Voici le premier : Écoute, Israël : le Seigneur notre Dieu est l’unique Seigneur. Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, de tout ton esprit et de toute ta force. Et voici le second : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. Il n’y a pas de commandement plus grand que ceux-là. »

Le scribe reprit : « Fort bien, Maître, tu as dit vrai : Dieu est l’Unique et il n’y en a pas d’autre que lui. L’aimer de tout son cœur, de toute son intelligence, de toute sa force, et aimer son prochain comme soi-même, vaut mieux que toute offrande d’holocaustes et de sacrifices. »

Jésus, voyant qu’il avait fait une remarque judicieuse, lui dit : « Tu n’es pas loin du royaume de Dieu. » Et personne n’osait plus l’interroger.

 

Évangile du dimanche 27 octobre 2024

Évangile de Jésus Christ selon saint Marc 10, 46b-52

En ce temps-là, tandis que Jésus sortait de Jéricho avec ses disciples et une foule nombreuse,
le fils de Timée, Bartimée, un aveugle qui mendiait, était assis au bord du chemin. Quand il entendit que c’était Jésus de Nazareth, il se mit à crier : « Fils de David, Jésus, prends pitié de moi ! » Beaucoup de gens le rabrouaient pour le faire taire, mais il criait de plus belle : « Fils de David, prends pitié de moi ! »

Jésus s’arrête et dit : « Appelez-le. » On appelle donc l’aveugle, et on lui dit : « Confiance, lève-toi ; il t’appelle. » L’aveugle jeta son manteau, bondit et courut vers Jésus. Prenant la parole, Jésus lui dit : « Que veux-tu que je fasse pour toi ? » L’aveugle lui dit : « Rabbouni, que je retrouve la vue ! » Et Jésus lui dit : « Va, ta foi t’a sauvé. » Aussitôt l’homme retrouva la vue, et il suivait Jésus sur le chemin.